Humanitaire : les Fondations Congo Assistance et Umugiraneza envisagent un partenariat

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Humanitaire : les Fondations Congo Assistance et Umugiraneza envisagent un partenariat


L’épouse du chef de l’Etat congolais, présidente en exercice de l’Organisation des premières dames d’Afrique pour le développement (Opdad) a échangé, le 15 avril, avec sa consœur du Burundi, Angéline Ndayishimiyé, en marge de la cérémonie d’investiture du président Denis Sassou N’Guesso.

 

Les entretiens entre Antoinette Sassou N’Guesso et la première dame du Burundi, Angéline Ndayishimiyé, ont porté sur le fonctionnement de l’Opdad, dont la vision est celle de parvenir à une Afrique développée, mais aussi sur la possibilité de nouer un partenariat entre la Fondation Congo Assistance et la Fondation Umugiraneza.

 

En cette période marquée par la crise sanitaire liée à la pandémie de covid-19, les épouses des chefs d’Etat congolais et burundais ont évoqué la contribution de l’Opdad dans la lutte contre cette maladie qui frappe aussi le continent africain. Signalons que l’Organisation panafricaine a tenu, en février dernier, sa 25e assemblée générale ordinaire, au cours de laquelle elle a appelé à redoubler d’efforts dans la lutte contre la pandémie.

 

Par la même occasion, la présidente en exercice, Antoinette Sassou N’Guesso, a encouragé ses consœurs à ne pas baisser les bras dans la lutte contre le coronavirus.Toutefois, l’Organisation travaille déjà avec les gouvernements et adhère aux décisions prises pour renforcer les capacités de riposte.

 

Antoinette Sassou N’Guesso et Angéline Ndayishimiyé qui dirigent des ONG à caractère humanitaire entendent nouer, dans un proche avenir, un partenariat en vue de mener des actions sociales pour le bien-être des populations.

 

Dans son pays, la première dame du Burundi dirige la Fondation Wumugiraneza qui veut dire "bonne action". Une ONG qui mène des actions en faveur des personnes vulnérables et promeut l’éducation formelle et informelle, ainsi que la bonne santé des mères et de leurs enfants au Burundi.

 

Après l’élection de son époux, Évariste Ndayishimiye, à la magistrature suprême, Angéline Ndayishimiyé a jugé nécessaire de créer la Fondation « Bonne Action » pour mener des actions sociales, prioritairement en direction de la jeunesse.

A sa première année d’existence, elle a déjà réalisé de nombreux projets. Plusieurs séances de sensibilisation ont été également organisées sur différentes thématiques en rapport avec la santé des jeunes, la culture de paix et la prise en charge des vulnérables.

 

Yvette Reine Nzaba